Les adolescents qui sont «dépendants» au tiktok éprouvent une moins bonne dépression et anxiété, et à leur tour, réduit la capacité de mémoire de travail
Résumé de l’article
Dans cet article, nous explorons l’impact du tiktok sur la santé mentale des adolescents. La recherche a montré que passer un temps excessif sur des plateformes de médias sociaux comme Tiktok peut conduire à des symptômes de santé mentale tels que l’anxiété, l’isolement et le désespoir. La pandémie a encore exacerbé les effets négatifs sur les adolescents, qui ont un besoin plus élevé d’interaction des pairs et sont plus sensibles à l’exclusion sociale. Cependant, Tiktok est également devenu une stratégie d’adaptation pour de nombreux adolescents. Bien que la plate-forme offre un sentiment de communauté et de validation, elle peut également contribuer à une augmentation de l’isolement et de la solitude. La «culture de la comparaison» encouragée par Tiktok peut avoir un effet néfaste sur l’estime de soi des jeunes et contribuer à la dépression et à l’isolement. De plus, le contenu disponible sur Tiktok est préoccupant, y compris l’exposition potentielle aux prédateurs en ligne. D’un autre côté, Tiktok peut également servir de plate-forme pour sensibiliser et comprendre les problèmes de santé mentale.
Points clés
- Passer un temps excessif sur Tiktok peut entraîner une dépression et une anxiété accrues chez les adolescents.
- La pandémie a rendu les effets négatifs des médias sociaux plus prononcés pour les adolescents.
- Tiktok domine la culture des jeunes et a un large public d’adolescents.
- Les adolescents souffrant d’anxiété sociale ou de dépression peuvent s’appuyer davantage sur les interactions en ligne, ce qui peut exacerber leurs défis de santé mentale.
- La «culture de la comparaison» sur Tiktok peut avoir un impact négatif sur l’estime de soi des jeunes.
- Certains cliniciens sont préoccupés par le contenu et les implications éthiques de Tiktok.
- Regarder le contenu de Tiktok peut aggraver les symptômes de certains problèmes de santé mentale.
- La cyberintimidation et l’exclusion sociale sur Tiktok peuvent contribuer à des taux plus élevés de problèmes de santé mentale.
- Tiktok peut servir de plate-forme pour partager les expériences et sensibiliser à la santé mentale.
- Les utilisateurs peuvent être exposés à différents problèmes de santé mentale sur Tiktok, favorisant une meilleure compréhension.
Questions et réponses
- Comment passer un temps excessif sur Tiktok affecte-t-il la santé mentale des adolescents?
- Pourquoi les adolescents sont-ils particulièrement vulnérables aux effets négatifs des médias sociaux?
- Quelle est la prévalence de l’utilisation de Tiktok chez les adolescents?
- Comment Tiktok peut-il contribuer à l’isolement et à la solitude accrus?
- Quelles sont les préoccupations parmi les cliniciens concernant Tiktok?
- Le contenu tiktok peut-il aggraver les symptômes des problèmes de santé mentale?
- Y a-t-il des aspects positifs de Tiktok pour la santé mentale?
- Comment Tiktok peut-il contribuer à une meilleure compréhension des problèmes de santé mentale?
- Quels sont les risques potentiels d’utiliser Tiktok?
- Est l’impact du tiktok sur la santé mentale concluante?
Passer un temps excessif sur Tiktok peut entraîner une dépression et une anxiété accrues chez les adolescents. Il contribue également aux sentiments d’isolement et de désespoir.
Les adolescents ont un besoin plus élevé d’interaction des pairs et sont plus sensibles à l’exclusion sociale. L’apprentissage pandémique et en ligne a perturbé leur vie, ce qui les rend davantage sur les réseaux sociaux pour combler les lacunes.
Tiktok domine la culture des jeunes et a un large public d’adolescents. Il a récemment dépassé Instagram comme l’application de médias sociaux la plus utilisée parmi les enfants âgés de 12 à 17 ans.
L’état d’esprit «culture de la comparaison» encouragée par Tiktok peut avoir un impact négatif sur l’estime de soi des jeunes. Ils se comparent aux autres en termes de likes, d’amis et de disciples, conduisant à des sentiments d’insuffisance et d’isolement.
Les cliniciens sont préoccupés par le contenu disponible sur Tiktok et les implications éthiques potentielles. Ils s’inquiètent également des pressions que les enfants et les adolescents peuvent ressentir en fonction du contenu de la plate-forme et de la possibilité de rencontrer des prédateurs en ligne.
La recherche a montré que regarder le contenu Tiktok peut aggraver les symptômes de certaines conditions de santé mentale. Il peut contribuer aux symptômes émotionnels, en particulier chez les enfants ayant des problèmes de santé mentale complexes ou des traumatismes.
Tiktok peut servir de plate-forme pour sensibiliser et comprendre les conditions de santé mentale. Les utilisateurs sont exposés aux personnes souffrant de conditions différentes, promouvant l’empathie et les connaissances.
Tiktok fournit un espace aux individus pour partager leurs expériences avec des problèmes de santé mentale. Cette exposition aide à dissiper la stigmatisation et à accroître la compréhension des utilisateurs.
Les risques d’utilisation de Tiktok incluent l’exposition à la cyberintimidation, l’exclusion sociale et potentiellement rencontrer des prédateurs en ligne. Les utilisateurs doivent être prudents et conscients de leurs interactions en ligne.
Bien qu’il existe des preuves significatives de l’impact négatif du tiktok sur la santé mentale, certains cliniciens pensent que davantage de recherches sont nécessaires pour parvenir à un verdict final. Les effets peuvent varier entre les individus.
Adolescents qui sont “dépendant” Pour Tiktok éprouve une moins bonne dépression et anxiété, et à son tour, une capacité de mémoire de travail réduite
L’un des principaux avantages de parler de la santé mentale sur Tiktok est que les utilisateurs sont exposés à des personnes souffrant de conditions différentes, explique Peter Wallerich-Neils, connu sous le nom de Peter Hyphen à ses plus de 416 000 abonnés sur Tiktok, où il a d’abord commencé.
Tiktok et la santé mentale des jeunes: peser les avantages et les inconvénients
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Tiktok et la santé mentale des jeunes: peser les avantages et les inconvénients
Douze ans et demi. Ce’s l’âge moyen auquel un enfant ouvre un compte de médias sociaux. Des recherches croissantes ont révélé que plus une personne passe sur les réseaux sociaux, plus elle éprouvera des symptômes de santé mentale tels que l’anxiété, l’isolement et le désespoir. Et selon une étude récente, des niveaux élevés d’utilisation des médias sociaux sur quatre ans ont été associés à une dépression accrue chez les jeunes du collège et du secondaire.
Selon John Piacentini, professeur au Département de psychiatrie et des sciences biobehaviorales de l’UCLA, le poids de la pandémie était particulièrement lourd pour les adolescents. Les adolescents et les jeunes adultes ont un besoin accru d’interaction des pairs et une sensibilité plus élevée à l’exclusion sociale. Les verrouillage, l’apprentissage en ligne et les mandats de distanciation sociale ont perturbé leur vie. Les médias sociaux, a-t-il dit, ont aidé à combler ces lacunes, et Tiktok est devenu une nouvelle stratégie d’adaptation.
Tiktok, l’une des plates-formes vidéo de médias sociaux à la croissance la plus rapide aujourd’hui, domine la culture des jeunes et attire plus d’un milliard d’utilisateurs dans le monde, dont près de la moitié ont 10 à 29 ans. Tiktok a récemment détrôné Instagram comme l’application de médias sociaux la plus utilisée parmi les enfants de 12 à 17 ans, avec 63% d’entre eux utilisant l’application sur une base hebdomadaire. Les données de l’Organisation mondiale de la santé montrent qu’en 2021, un adolescents sur sept âgés de 10 à 19 ans a eu des défis de santé mentale. Ce groupe est un élément clé de Tiktok’public.
Alors que Tiktok gagne plus d’acceptation chez les jeunes, les parents, les décideurs et les cliniciens sont de plus en plus préoccupants sur l’impact réel que la plate-forme a sur la santé mentale des jeunes. Comme pour tout problème, il y a deux côtés à considérer.
Tiktok peut encourager plus d’isolement et de solitude des jeunes
Pour les adolescents, trouver la communauté et la validation sur Tiktok est non seulement normal mais nécessaire pour leur développement.
“Il y a des jeunes, en particulier ceux qui souffrent d’anxiété sociale ou de dépression, qui peuvent avoir tendance à passer plus de temps en ligne et à réduire leur contact réel et en face à face avec d’autres personnes,” a déclaré Anne Marie Albano, PhD, directrice de la Columbia University Clinic for Anxiété et troubles connexes. “Lorsqu’un individu ne s’engage pas dans le monde de manière saine – interagir avec les autres, se gérer dans des situations difficiles… s’exprimer en classe, faire face à un conflit avec ses pairs – cela peut exacerber leurs sentiments d’aliénation, de désespoir, d’isolement, d’anxiété et de dépression.”
Le “Culture de comparaison” L’état d’esprit qui est encouragé par les plateformes de médias sociaux comme Tiktok peut être très difficile pour un jeune, a ajouté Albano.
“Tout enfant qui est sujet à des préoccupations concernant leur image de soi et qui ils sont, sont soucieux de s’intégrer ou de ce que les autres pensent d’eux, se compareront inévitablement au nombre de likes, d’amis ou de followers que les autres ont quand ils se rendront en ligne,” dit-elle. “Ils regardent ces sites à travers une lentille négative, ‘je’Je ne sera jamais aussi bon que ces gens’ Et cet état d’esprit les met au risque d’augmenter la dépression et l’isolement.”
Malgré la présence de preuves solides, certains cliniciens croient toujours que le jury’est toujours sorti pour un verdict final sur tiktok. Jaclyn Halpern, Psyd., est directeur du programme SOAR chez Behavioral Medicine Associates, une pratique offrant une psychothérapie et des tests pour les enfants et les adolescents.
“Il y a des raisons de l’inquiétude étant donné le contenu disponible sur Tiktok, les différences d’éthique et de valeurs entourant Tiktok’S Contenu, les pressions que les enfants et les adolescents peuvent ressentir basée sur Tiktok’S Contenu, et la possibilité de rencontrer un prédateur en ligne lors de l’utilisation de l’application. En fin de compte, la recherche a commencé à montrer à la fois des risques et des points positifs pour les jeunes en utilisant Tiktok et d’autres plateformes de médias sociaux.”
L’utilisation de Tiktok pourrait aggraver les problèmes de santé mentale
Dans ses recherches, Piacentini a trouvé certains patients à l’UCLA Child TOC, à l’anxiété et au Tic Disorders Clinic et à la tourette ASSN. Centre d’excellence a montré des symptômes aggravés qu’il croit peut-être à la suite de regarder le contenu tiktok en ligne.
La recherche montre que la cyberintimidation, l’exclusion sociale et le drame qui peuvent survenir sur ces réseaux ont été associés à des taux plus élevés de problèmes de santé mentale chez les adolescents.
Halpern’La recherche semble également confirmer que les enfants ayant une santé mentale complexe et des facteurs de stress environnementaux ou des traumatismes peuvent voir au moins une augmentation temporaire des symptômes émotionnels après l’utilisation de Tiktok.
Tiktok peut aider à améliorer les connaissances sur les problèmes de santé mentale
L’un des principaux avantages de parler de la santé mentale sur Tiktok est que les utilisateurs sont exposés à des personnes souffrant de conditions différentes, explique Peter Wallerich-Neils, connu sous le nom de Peter Hyphen à ses plus de 416 000 abonnés sur Tiktok, où il a d’abord commencé.
Quand ils trouvent d’autres personnes avec leurs propres problèmes, ils peuvent commencer un dialogue sur leurs symptômes.
“Il’est en quelque sorte un miroir à eux-mêmes et ils peuvent réaliser, ‘Oh, mon Dieu, je ne l’ai pas fait’Je me rends compte que c’est quelque chose que je pensais que seulement je m’occupais’… – et ‘Je fais partie de cette communauté que je n’ai pas fait’t Même sait existé.’” il a dit.
Tiktok offre la validation et la communauté des jeunes
Ceux qui peuvent se sentir seuls dans leurs difficultés peuvent souvent trouver la validation dont ils ont besoin via Tiktok. Comme beaucoup d’autres, Wallerich-Neils s’est rendu sur les réseaux sociaux au début de la pandémie pour combler le vide créé par les verrouillage. Sur Tiktok, il a commencé à analyser et à partager la façon dont son diagnostic de TDAH a affecté sa vie quotidienne et a constaté que de nombreuses personnes se connectaient à son voyage.
Kojo Sarfo, MD, infirmière praticienne en santé mentale et psychothérapeute avec plus de 1.9 millions de followers sur Tiktok, attribue l’application à créer des espaces où les personnes souffrant de problèmes de santé mentale peuvent sentir qu’ils appartiennent. Cette connexion est particulièrement importante pour les communautés où la santé mentale est rarement parlée ou est même considérée comme un sujet tabou.
Stratégies pour montrer aux jeunes comment s’engager avec Tiktok de manière saine
Étant donné que la recherche sur les réseaux sociaux est mitigée et à ses premiers stades, les cliniciens offrent plusieurs façons aux adolescents et à leurs parents d’obtenir les résultats les plus positifs de l’engagement avec Tiktok.
“Dans notre programme d’anxiété sociale à l’Université Columbia, nous enseignons aux adolescents et aux jeunes adultes comment créer des limites saines,” dit albano. “Nous travaillons avec eux sur quoi’s dans leur zone de confort, ce qui a du sens quand il s’agit de publier et d’aimer d’autres personnes’S Postes, et comment rester en sécurité et éviter d’acheter des gadgets ou des cascades risquées qui peuvent être tendance. Nous travaillons également sur la façon de répondre aux commentaires tout en ignorant les autres qui peuvent être inappropriés et apprendre quand bloquer les gens.”
Les experts recommandent également d’enseigner aux jeunes comment fixer des limites à l’utilisation des médias sociaux. Les repas sont le moment idéal pour ranger les téléphones. Une autre habitude saine consiste à mettre un temps chaque nuit où ils rangent tous les écrans pour se donner suffisamment de temps pour se détendre et préparer le corps à dormir.
Comment les parents peuvent aider
Les parents devront surveiller et apprendre à limiter les médias sociaux et le temps d’écran global avec leurs enfants, à partir d’un âge précoce. Ils devraient considérer les contrôles parentaux jusqu’à ce qu’ils sachent que leur enfant est suffisamment mûr pour gérer leurs propres comptes. Les experts pensent que les parents montrent la plus forte influence lorsqu’ils restent impliqués dans leurs enfants’ vie et modèle de comportement souhaité. Les parents peuvent donner l’exemple lorsqu’ils rangent leurs téléphones et écrans et prendre le temps de parler avec leurs enfants à la fin d’une journée d’école. La modélisation de ce bon comportement est critique.
Adolescents qui sont “dépendant” Pour Tiktok éprouve une moins bonne dépression et anxiété, et à son tour, une capacité de mémoire de travail réduite
Une étude parmi les utilisateurs des adolescents Tiktok a révélé que ceux qui montraient des tendances addictives à la plate-forme fonctionnaient pire lors du rappel de séquences numériques. Les résultats, publiés dans le Journal international de recherche environnementale et de santé publique, a en outre suggéré que ce déficit de mémoire de travail était en partie dû à l’augmentation de la dépression et de l’anxiété.
Alors que la technologie des smartphones et des réseaux sociaux a pris le dessus sur le monde, les chercheurs en psychologie ont commencé à discuter des conséquences en santé mentale de l’être “dépendant” à votre smartphone. Les auteurs de l’étude Peng Sha et Xiaoyu Dong discutent des résultats suggérant que l’utilisation problématique des smartphones peut réellement affaiblir la mémoire de travail.
Sha et Dong se sont demandé si ce déficit de mémoire de travail peut avoir à voir avec l’augmentation des taux de dépression et d’anxiété chez les utilisateurs passionnés des médias sociaux. Notamment, un grand nombre de recherches ont suggéré que la dépression et l’anxiété peuvent avoir un impact sur la capacité de la mémoire de travail.
Les chercheurs ont concentré leur étude sur l’utilisation problématique de Tiktok, un site de réseautage social appartenant à des Chinois qui en a 1.5 milliards d’utilisateurs dans le monde. Tiktok permet aux utilisateurs de partager et de regarder de courtes vidéos sur leurs smartphones, et la majorité des utilisateurs sont des adolescents.
Un questionnaire a été distribué parmi 3 036 lycéens en Chine qui ont dit qu’ils utilisaient régulièrement Tiktok. Les étudiants ont terminé une version adaptée de l’échelle de toxicomanie des smartphones, version courte qui a remplacé le mot “téléphone intelligent” avec “TIC Tac.” Ceci a été utilisé comme mesure du trouble d’utilisation de Tiktok (TTUD) et des facteurs adressés comme l’interférence dans la vie quotidienne et le retrait. Les étudiants ont également effectué des mesures de dépression, d’anxiété et de stress.
Les étudiants ont ensuite terminé les tests de span à chiffres vers l’avant et vers l’arrière pour évaluer la mémoire de travail verbale. Ces tests ont évalué les étudiants’ Capacité à rappeler des séquences de nombres qui leur ont été présentées sur un écran et de les répéter dans le même ordre ou l’ordre inverse.
À travers l’échantillon, les étudiants ayant des scores plus élevés pour le trouble d’utilisation de Tiktok ont permis de moins sur les tests de la portée des chiffres avant et vers l’arrière – suggérant une capacité de mémoire de travail réduite parmi ceux qui ont des tendances addictives envers Tiktok. Ces étudiants avaient également des scores plus élevés pour la dépression, l’anxiété et le stress.
Alors que les chercheurs ont l’hypothèse, la dépression, l’anxiété et le stress semblaient au moins en partie expliquer pourquoi l’utilisation problématique de Tiktok était liée à une bonne mémoire de travail. La dépression et l’anxiété ont partiellement médié l’effet entre le TTUD et la capacité de mémoire de la portée des chiffres vers l’avant. La dépression, l’anxiété et le stress ont été partiellement médiés l’effet entre le TTUD et la capacité de mémoire de la portée des chiffres arrière.
Lorsque les chercheurs ont analysé les résultats séparément pour les hommes et les femmes, les différences de genre ont émergé. Parmi les étudiants masculins uniquement, le stress n’était pas significativement associé aux scores sur le test de la portée des chiffres arrière. Ensuite, bien que les étudiantes aient des scores plus élevés pour le TTUD, les étudiants masculins avaient des scores de dépression, d’anxiété et de stress plus élevés et une capacité de mémoire de travail inférieure. Les auteurs de l’étude disent qu’il n’est pas clair si la capacité de mémoire réduite observée chez les élèves masculins était due à leurs niveaux plus élevés de détresse mentale.
Ils notent également que leur étude n’était pas représentative de tous les adolescents chinois et que de futures études seront nécessaires pour généraliser les résultats. Les recherches longitudinales mettraient en lumière la relation entre la santé mentale, le TTUD et la perte de mémoire au fil du temps.
Tiktok vous a-t-il dit vous’être déprimé?
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Environ 7% des adultes américains souffrent de dépression et de 18% d’anxiété, selon un document de recherche de l’École de médecine de l’Université de Pittsburgh. Si vous regardez quelques vidéos #Sad ou #Dreprivés sur Tiktok, cependant, la plate-forme peut vous servir de contenu de près de 100% triste pour vous.
Ce que vous regardez, partagez, partagez et suivez les aliments pour nourrir l’algorithme de votre contenu futur. Même une pause pour survoler une vidéo aide Tiktok à identifier vos intérêts et ce qui attire votre attention.
Étant donné que 70% des utilisateurs de Tiktok passent plus d’une heure par semaine sur l’application (6% passent 10 heures ou plus par semaine), cela peut ajouter beaucoup de temps avec des histoires négatives, tristes ou déprimantes si vous ne faites pas attention.
Alors que certains tiktoks populaires incluent des vidéos suggérant que les téléspectateurs vérifient les amis et s’assurent qu’ils’Revenons bien en utilisant des hashtags tels que les informations de #mentalhealthaware, il existe des preuves que l’utilisation des médias sociaux, en particulier de plateformes très visuelles comme Tiktok, est corrélée à une dépression et à l’anxiété accrues.
Dépression, anxiété et médias sociaux
Une étude JAMA a révélé que les membres des chercheurs en groupes ont appelé “Connecté” et “Câblé” (Les sujets de l’étude qui étaient le plus fortement liés aux médias sociaux) étaient beaucoup plus susceptibles que le “Débranché” et les utilisateurs modérés des médias sociaux à signaler les symptômes de dépression ou d’anxiété.
La corrélation n’est pas la causalité, et ces études (et d’autres comme elles)’t Montrez que l’utilisation des médias sociaux mène à la dépression ou à l’anxiété. Il se peut que les gens qui se sentent déprimés et anxieux se tournent vers les médias sociaux dans l’espoir d’en apprendre davantage et de se sentir mieux.
Cependant, l’étude qui a examiné le “Débranché” par rapport à la “Câblé” Les groupes sont nés lorsque les chercheurs ont découvert que les sujets avec lesquels ils ont parlé au début de l’étude sont devenus plus anxieux et déprimés à mesure que l’étude progressait. Pendant qu’ils vérifiaient la santé mentale pendant la pandémie, le lien avec les médias sociaux a tellement attiré leur attention qu’ils ressentaient le besoin de l’étudier plus loin.
Le bon le mauvais et le laid
Tiktok en particulier a été évoqué par admiration par des psychologues pour avoir fait parler de la santé mentale. Où Instagram consiste à montrer des versions de réalité soigneusement touchées et organisées, Tiktok ouvre la porte au partage d’expériences d’anxiété et de dépression. Tiktok a aidé à normaliser la discussion des symptômes et réduit la stigmatisation autour de demander de l’aide.
D’un autre côté, puisque Tiktok utilise un algorithme (un processus mathématique) qui montre aux gens plus de ce qu’ils choisissent de regarder,’est facile pour les gens un peu bleu pour finir par descendre un terrier de lapin de misère.
Si vous ou un être cher pouvez passer trop de temps à se vautrer dans des vidéos lugubres, pensez à parler avec quelqu’un ou à obtenir de l’aide. Quelques suggestions:
- Visitez la santé mentale America’S Zone de test en ligne. Des outils de dépistage rapides vous permettent de savoir si vous’révise une mauvaise humeur ordinaire ou si elle’est le temps d’obtenir de l’aide.
- N’oubliez pas qu’il existe des traitements pour la dépression et l’anxiété. Tu ne fais pas’t à vivre avec l’une ou l’autre de ces conditions.
- Parlez avec votre médecin. Demandez des conseils à votre médecin de soins primaires ou contactez Northwest Arkansas Psychiatry.
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Tiktok est addictif pour de nombreuses filles, en particulier celles souffrant de dépression
L’étude des plateformes de médias sociaux approfondit notre image des difficultés auxquelles les adolescentes sont confrontées
30 mars 2023 à 5h00 A.m. EDT
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Article de cadeau
Près de la moitié des adolescentes sur Tiktok se sentent dépendantes ou utilisent la plate-forme plus longtemps qu’elles ne l’intention, selon un rapport qui considère les médias sociaux comme une facette centrale de la fille américaine.
Tiktok ouvre la voie en temps total sur sa plate-forme, avec des filles qui l’utilisent en enregistrant plus de 2.5 heures par jour, selon des chercheurs de l’Université Brown et des médias de bon sens à but non lucratif. Mais YouTube n’est qu’un peu en retard, à près de 2.5 heures, avec Snapchat et applications de messagerie à environ deux heures, et Instagram à 92 minutes. De nombreuses filles interrogées, âgées de 11 à 15 ans, utilisent plusieurs plateformes chaque jour.
Alors que la plupart des filles ont décrit les effets des médias sociaux sur les personnes de leur âge comme positives, environ 1 sur 4 qui utilisent Tiktok, Instagram et Snapchat éprouvent des comparaisons sociales négatives et ressentent une pression quotidienne pour montrer les meilleures versions d’eux-mêmes.
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Parmi les plus vulnérables aux inconvénients des médias sociaux figuraient des filles présentant des symptômes de dépression modérés à graves, qui étaient plus susceptibles de dire que leur vie serait meilleure sans médias sociaux. Plus d’entre eux ont utilisé les médias sociaux “presque constamment.” Avec Tiktok, 68% ont déclaré qu’ils se sentaient accro ou l’utilisaient plus que prévu, contre 33% des filles sans symptômes dépressifs.
Jacqueline Nesi, co-auteur et professeur adjoint de psychiatrie à Brown, a également souligné que les trois quarts de filles présentant des symptômes de dépression modérés à sévères qui utilisent le rapport Instagram rencontrant un contenu lié au suicide au moins au moins mensuel. De même, 69% ont déclaré le même problème sur Tiktok et 64% sur Snapchat et YouTube.
“Ce’est un nombre vraiment important de filles qui sont déjà en difficulté et qui rencontrent ensuite ce type de contenu nocif en ligne,” dit-elle.